Il n'y a pas assez de startups qui paient les freelances en retard !!!
Comment faire pour inciter les startups à systématiquement payer les freelances en retard ? C'est la question qu'on se pose tous.
Bon les gars.
Faut que je vous parle d’un truc que j’ai découvert.
En fait, si un client paie en retard ma facture… c’est triste mais c’est surtout trop cooooool.
Comment ça peut être cool ? Me direz-vous.
Disons qu’il y ait 100€ de pénalités.
Ce qui nous donne d’après mes calculs.. 100€ de bénéfices sans rien faire.
Et, avec 100 balles, on peut acheter 50 suisses au chocolat…
Elle n’est pas belle la vie ?
J’ai découvert ce stratagème machiavélique en écoutant Theo lion.
Êtes-vous votre meilleur ami ?
En fait, le chum explique dans son podcast qu’il y a 2 choses dans la vie :
les trucs qui arrivent
les histoires qu’on se raconte sur les trucs qui arrivent.
Se faire payer en retard, c’est un truc qui arrive.
Or l’histoire qu’on raconte sur ces retards n’est jamais positive.
À quoi ça sert de ne pas être positif ?
Voilà une version positive.
Il n’y a pas d’histoire vraie ou d’histoire fausse.
Si demain on travaille ensemble (je suis freelance hin) et que ça se passe mal. On peut se dire que c’est un échec.
Mais on peut aussi se dire que c’est une aubaine. Que cet échec marque le début d’une collaboration à succès.
Si se raconter la version positive, n’empêche pas la version négative d’exister. La version négative empêchera la version positive d’arriver.
Alors c’est peut-être intéressant d’être son meilleur ami.
De se raconter les histoires positives.
Je lisais dans la newsletter de James Clear :
When I go into a situation, I try to keep a mindset of baseline optimism.
When starting the day: It's going to be a good day.
When meeting someone new: I'm going to like them.
When trying something challenging: It's going to work out.
Comment inciter les entreprises à payer en retard les freelances ?
Bon maintenant on va parler de choses un peu délicates.
Les âmes sensibles je vous conesille d’arrêter votre lecture. Et, même, de vous désinscrire.
(Si vous n’êtes pas inscrit, je vous conseille de vous inscrire puis de vous désinscrire illico presto).
Alors.
C’était un mardi.
Ou un lundi je ne sais plus.
Et j’ai déclaré à mon client qu’on allait faire un truc de zinzin.
On va générer des milliers de leads via ton marketing.
Interloqué mon client est resté pantois.
Mais Aristide, c’est zinzin ! T’as un hack magique ???
J’avais mieux !
Depuis que je suis née je prépare un plan et le moment est venu de l’utiliser.
Le client me posa alors une question (tout à faire pertinente).
T’es née quand Aristide ?
A sa grande surprise, je lui raconta la vérité.
Je suis née hier.
T’as fumé Aristide ??
Un matin ensoleillé en Chine, Confucius a dit un truc du genre : On a deux vies. La seconde commence quand on réalise qu’on en a qu’une. Je suis née hier dans ma seconde vie.
C’est alors que commença notre épique collaboration pour générer de leads via le marketing.
Bon, en vrai, ce n’était pas épique.
Après 6 mois de travail on avair réussi à mettre en place un système autonome pour attirer une 50e de prospects par mois.
Ça n’a rien d’épique.
Vous vous demandez sûrement comment a-t-on fait ?
Et si vous ne vous le demandez pas, maintenant vous le vous demandez sûrement.
Vous voyez toutes ces entreprises qui créent du contenu et le réutilisent pour le partager sur différentes plateformes ?
Elles écrivent toutes la même chose de la même manière.
Si votre marque était un monsieur (ou une madame) qui serait-elle ?
Sans histoire, tous les contenus se ressemblent.
Aucune startup ne veut faire la même chose que tout le monde. Alors, pourquoi se tourner vers les autres pour savoir quoi écrire ?
C’est réconfortant de faire comme les autres. Mais alors la seule façon de se différencier est de travailler plus dur que tout le monde.
Or..
Etre unique > être mieux.
Les normes sociales définissent des situations et les modes de comportement appropriés à celles-ci : certaines actions sont prescrites (ce qui est bien), d’autres sont interdites (ce qui est mal). Quand un individu est supposé avoir transgressé une norme en vigueur, il peut se faire qu’il soit perçu comme un type particulier d’individu, auquel on ne peut faire confiance pour vivre selon les normes sur lesquelles s’accorde le groupe. Cet individu est considéré comme étranger au groupe. Mais l’individu qui est ainsi étiqueté comme étranger peut voir les choses autrement. Il se peut qu’il n’accepte pas la norme selon laquelle on le juge ou qu’il dénie à ceux qui le jugent la compétence pour le faire. Il en découle un deuxième sens du terme : le transgresseur peut estimer que ses juges sont étrangers à son univers.
Source : Samuel Becker - Outsiders
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